Si la mort de Jésus a été un sacrifice, son sang a-t-il été répandu sur un autel ? Si oui, lequel et à quel moment ? Encore des questions que devrait se poser toute personne désireuse d’approfondir sa connaissance de la Parole de Dieu et de l’œuvre rédemptrice de Jésus de Nazareth.
En effet, selon la loi, le sang de la victime expiatoire offerte pour le péché du peuple devait être aspergé sur l’autel et sur le propitiatoire qui lui se trouvait dans le lieu très Saint. Or, le nouveau testament nous apprend que Jésus s’est offert comme victime expiatoire pour nos péchés. Il est dès lors normal de se demander sur quel autel le sang de Jésus a été répandu.
« Car l'âme de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel, afin qu'il servît d'expiation pour vos âmes, car c'est par l'âme que le sang fait l'expiation. » (Lévitique 17 : 11)
« Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2 : 2)
Pour découvrir sur quel autel le Sang de Jésus a été répandu, il est important d’aller voir ce que Dieu donna comme ordre sur la construction d’un autel.
« Tu m'élèveras un autel de terre, sur lequel tu offriras tes holocaustes et tes sacrifices d'actions de grâces, tes brebis et tes boeufs. Partout où je rappellerai mon nom, je viendrai à toi, et je te bénirai. Si tu m'élèves un autel de pierre, tu ne le bâtiras point en pierres taillées; car en passant ton ciseau sur la pierre, tu la profanerais. » (Exode 20 : 24 – 25)
Selon ce passage, l’autel devait être de terre. Ce n’est qu’exceptionnellement qu’il devait être fait des pierres, à condition que celles-ci ne soient point taillées.
Sachant que Jésus fut crucifié sur le mont Golgotha et que du sang se répandait de son corps à cause de la flagellation qu’il avait subit, de la couronne d’épines qu’on lui avait mis, des clous qui lui avaient transpercés les mains et les pieds et de la lance qui lui avait transpercé le côté, on peut dire que Golgotha constituait cet autel sur lequel le sang de Jésus fut répandu.
« Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant: Salut, roi des Juifs! » (Matthieu 27 : 29)
« S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau. » (Jean 19 : 33 – 34)
Bien que ce qui se passait dans le temple lors de la mort Jésus (Matthieu 27 : 51 – 52) pourrait nous amener à supposer qu’il pénétra spirituellement à l’intérieur pour mettre son sang sur le propitiatoire, la bible rejette catégoriquement cette idée en affirmant :
« Car Christ n'est pas entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu. » (Hébreux 9 : 24)
En effet, en construisant le tabernacle, Moïse avait reçu l’ordre de le faire selon le modèle qu’il avait vu sur la montagne, un modèle céleste.
« Il était donc nécessaire, puisque les images des choses qui sont dans les cieux devaient être purifiées de cette manière, que les choses célestes elles-mêmes le fussent par des sacrifices plus excellents que ceux-là. » (Hébreux 9 : 23)
L’épître aux Hébreux nous informe que Jésus est entré dans cet temple céleste avec son propre sang.
« Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une Rédemption éternelle. » (Hébreux 9 : 11 – 12)
Nous pouvons donc à la lecture de ce verset comprendre qu’il est entré répandre de son sang sur l’autel qui se trouve au ciel.
« Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n'ont pas le pouvoir de manger. (…) Car nous n'avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. » (Hébreux 13 : 10, 14)
En effet, selon la loi, le sang de la victime expiatoire offerte pour le péché du peuple devait être aspergé sur l’autel et sur le propitiatoire qui lui se trouvait dans le lieu très Saint. Or, le nouveau testament nous apprend que Jésus s’est offert comme victime expiatoire pour nos péchés. Il est dès lors normal de se demander sur quel autel le sang de Jésus a été répandu.
« Car l'âme de la chair est dans le sang. Je vous l'ai donné sur l'autel, afin qu'il servît d'expiation pour vos âmes, car c'est par l'âme que le sang fait l'expiation. » (Lévitique 17 : 11)
« Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2 : 2)
Pour découvrir sur quel autel le Sang de Jésus a été répandu, il est important d’aller voir ce que Dieu donna comme ordre sur la construction d’un autel.
« Tu m'élèveras un autel de terre, sur lequel tu offriras tes holocaustes et tes sacrifices d'actions de grâces, tes brebis et tes boeufs. Partout où je rappellerai mon nom, je viendrai à toi, et je te bénirai. Si tu m'élèves un autel de pierre, tu ne le bâtiras point en pierres taillées; car en passant ton ciseau sur la pierre, tu la profanerais. » (Exode 20 : 24 – 25)
Selon ce passage, l’autel devait être de terre. Ce n’est qu’exceptionnellement qu’il devait être fait des pierres, à condition que celles-ci ne soient point taillées.
Sachant que Jésus fut crucifié sur le mont Golgotha et que du sang se répandait de son corps à cause de la flagellation qu’il avait subit, de la couronne d’épines qu’on lui avait mis, des clous qui lui avaient transpercés les mains et les pieds et de la lance qui lui avait transpercé le côté, on peut dire que Golgotha constituait cet autel sur lequel le sang de Jésus fut répandu.
« Ils tressèrent une couronne d'épines, qu'ils posèrent sur sa tête, et ils lui mirent un roseau dans la main droite; puis, s'agenouillant devant lui, ils le raillaient, en disant: Salut, roi des Juifs! » (Matthieu 27 : 29)
« S'étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau. » (Jean 19 : 33 – 34)
Bien que ce qui se passait dans le temple lors de la mort Jésus (Matthieu 27 : 51 – 52) pourrait nous amener à supposer qu’il pénétra spirituellement à l’intérieur pour mettre son sang sur le propitiatoire, la bible rejette catégoriquement cette idée en affirmant :
« Car Christ n'est pas entré dans un sanctuaire fait de main d'homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu. » (Hébreux 9 : 24)
En effet, en construisant le tabernacle, Moïse avait reçu l’ordre de le faire selon le modèle qu’il avait vu sur la montagne, un modèle céleste.
« Il était donc nécessaire, puisque les images des choses qui sont dans les cieux devaient être purifiées de cette manière, que les choses célestes elles-mêmes le fussent par des sacrifices plus excellents que ceux-là. » (Hébreux 9 : 23)
L’épître aux Hébreux nous informe que Jésus est entré dans cet temple céleste avec son propre sang.
« Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n'est pas construit de main d'homme, c'est-à-dire, qui n'est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une Rédemption éternelle. » (Hébreux 9 : 11 – 12)
Nous pouvons donc à la lecture de ce verset comprendre qu’il est entré répandre de son sang sur l’autel qui se trouve au ciel.
« Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n'ont pas le pouvoir de manger. (…) Car nous n'avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. » (Hébreux 13 : 10, 14)
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